Octobre 2007 : anecdotes

 

Nom tabou

On connaissait les amendes pour retard, on connaissait les amendes pour pénalités, mais il restait encore à inventer le pot commun alimenté par ceux qui prononcent le nom honni de leur ancien entraîneur... C'est désormais chose faite chez les Eisbären de Berlin : chaque joueur qui dit "Pierre" ou "Pagé" devra payer 50 euros. Le fou qui oserait citer en entier "Pierre Pagé" devra ainsi débourser cent euros. Quelle meilleure preuve (en plus de la première place retrouvée) que le point de rupture avait été atteint la saison dernière entre le Canadien et ses joueurs ? Le résultat se voit dans les interviews, par exemple celles de la révélation du moment, le défenseur Jens Baxmann, qui évoque combien "l'autre" (comprendre P... P...) ne lui faisait pas confiance.

Croisière hockey

On connaissait les bus de supporters, on connaissait les trains spéciaux pour transporter les supporters, mais il restait encore à inventer le bateau spécialement affrété pour l'occasion... Cela ne pouvait se passer qu'en Suisse, pays de lacs s'il en est. L'initiative vient de deux groupes de supporters de Bienne qui amèneront ainsi 200 personnes pour le match à Neuchâtel le 4 novembre prochain.

 

 

Les citations du mois

 

"Cette ligue est faible. Le jeu n'a parfois rien à voir avec du hockey."

Zigmund Palffy, ressorti de sa retraite pour jouer avec son club formateur de Skalica, ne semble pas enchanté par le niveau actuel de l'Extraliga slovaque. Seule une gastro l'a privé de la tête du classement des marqueurs, très provisoirement. Il est redevenu meilleur pointeur, et a aussi repris le titre de meilleur buteur que détenait l'ex-Mulhousien Juraj Faith.

"C'est génial de ne plus avoir d'excuse. On se disait que c'était la faute du manque d'entraînement... Et à force, on ne savait plus vraiment où on en était."

Francis Larivée, gardien de Viry-Châtillon, expliquant le bénéfice d'avoir enfin retrouvé une patinoire, dans le Parisien.

"On n'est pas dans le foot, on ne va pas virer un gars pour que ça s'arrange."

Pascal Lemasson, président de Caen, dans Ouest France. En même temps, ce serait inutile, les joueurs partent tout seuls...

 

 

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